Odaiba et Momusu, the last one (20 novembre)

Aujourd’hui ? On va à Odaiba voir Mme Tussauds puis à Hamamatsu voir les Momusu !

La journée démarre avec un réveil à 10h. Yep, c’est les vacances quoi… À 11, nous partons pour Odaiba, des îles artificielles en baie de Tōkyō, pour aller visiter Mme Tussauds. C’est le Grévin anglais (même si madame était française en fait) qui s’est exporté un peu partout dans le monde, dont le Japon donc. Au programme, une soixantaine de pièces fort réalistes, provenant de l’histoire internationale (Léonard de Vinci, Shakespeare…), nationale (pas mal d’hommes politiques), du monde du spectacle (Mayuyu, Acchan…), du cinéma (Johnny Depp, Di Caprio, E.T.), de la politique (Obama, Diana…) etc. Pour une grande partie de ces pièces, tu peux profiter d’un décor et d’accessoires laissés à la disposition de tous pour faire des photos. Enfin, il y a un secteur avec quelques explications sur l’histoire de Madame Tussauds et sur la fabrication des pièces, où tu peux d’ailleurs faire faire pour 1000 yens un moulage de ta main. En résumé : très réaliste, assez fun, si vous avez un peu de temps libre, n’hésitez pas à y faire un saut.

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Juste à côté du musée, il y a un parc Legoland, où il faudra que j’aille me perdre un jour ou l’autre. En attendant, je vais tout de même faire un tour à la boutique associée… Je profite des porte-clefs à -50% et je craque sur une paire de stylos, pour une fois que je suis raisonnable dans ce pays… Point suivant, le Diver City, un autre centre commercial pas loin. Au menu : Gundam ! Quelques photos de celui à l’échelle devant le bâtiment malgré la pluie et un Gunpla à la petite boutique en bas. J’en profite pour reprendre une pince pour découper les éléments à assembler de ces maquettes, la mienne n’était pas très pratique pour ça. Ensuite, on monte au grand Gundam Front, la boutique grand format au sommet du centre commercial. Il y a une exposition avec, que je n’ai pas encore faite, il faudra essayer de trouver le temps un de ces quatre. Je traîne pas mal parmi les maquettes exposées par dizaines et autres goodies, mais sans craquer cette fois, le budget a déjà été largement dépassé avec le coût prohibitif du Hello! Project, on va tâcher de faire un peu plus attention…

Suite du programme ? On rentre sur Tōkyō pour prendre le Shinkansen vers Hamamatsu, là où nous allons voir le dernier concert de la tournée des Morning Musume。’14. Ce n’est pas très loin, 1h30 tout compris environ. Et sur place, le Hamamatsu Act City, notre salle du jour, est juste à côté de la gare. Nous arrivons pour nous mettre dans la queue pour les goods. Elle sera stoppée peu avant notre passage pour faire l’ouverture de la salle. Heureusement, ils n’en lancent pas une nouvelle à ce moment là, nous avons juste à attendre un quart d’heure pour rentrer parmi les premiers dans la salle et à aller aux goods à l’intérieur. Je ne prends qu’une photo du jour, pour le souvenir, et le nouveau poster mis en vente ce jour, un B1 !

Sur ce, je vais me mettre en position. J’ai un rang 19, place 46, soit la dernière à droite de la ligne. Je serai un peu gêné pendant le live par les enceintes qui me cache un bout de la scène, mais rien de dramatique. Puis j’ai toute l’allée pour bouger et c’est bien cool. La salle est vraiment belle, plus de 2300 places en gradins, avec rien de moins que trois balcons. Allez, c’est parti pour deux heures de bonheur, mon meilleur concert sans nul doute. Je commence à maîtriser la setlist, j’en profite vraiment un maximum. Puis être totalement sur le côté n’est pas désagréable pour l’ambiance car tu as une excellente vue sur la salle et peut constater de la folie de ces moments. Bon, ce sera encore la setlist de Aruiteru, je n’aurais eu ma version préférée du concert qu’une seule fois sur cinq. Mais il y a deux calls (appel du public) d’Eripon dans cette setlist, c’est assez rare pour ne pas en profiter ! Ces deux heures passent bien trop vite, on finit avec un rappel pour Sayumi (c’est son dernier concert avant le sotsugyō), puis un ultime nouveau rappel de la demoiselle, qui revient comme les concerts précédents dire quelque mots et te mettre son satané Lalala no pipipi en tête pour toute la fin de soirée. Je file dès qu’elle a quitté la scène, car le Shinkansen pars dans une quinzaine de minutes. Je retrouve elsy dans le hall et nous suivons le flux de fans tokyoïtes qui trottinent eux aussi pour ce train. Nous l’aurons finalement assez largement.

Retour à Tōkyō, sourire entendu avec les gens sur le quai dont un grand poster dépasse du sac, dîner à la bambou et au dodo la compagnie ! On change de registre demain puisqu’on ira voir LIGHT BRINGER pour, hélas, leur last live.

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